lundi 23 juin 2008

A European campaign against corporal punishment of children


In most of Europe today, society tolerates and even approves some recurrent forms of violence against children, in particular those inflicted in the family setting. No religion, belief, economic situation or "educational" method can ever justify hitting, smacking, spanking, mutilating, abusing, humiliating, or any other practice that violates a child's dignity. It is internationally recognised in human rights law that children have a right to protection from all forms of violence, including corporal punishment in all settings (home, school, penal systems, alternative care).
One third of Council of Europe member states have made corporal punishment illegal and a number of others are committed to legal reform. But despite these positive developments, corporal punishment remains lawful in most countries and is still perceived as an acceptable form of "discipline", in particular in the home. Lawfulness of corporal punishment is also contrary to the right of children to equal protection under the law. Abolishing corporal punishment of children calls for action at different levels. It requires comprehensive changes in legislation and new policy measures to ensure proper implementation and guidance for those working with children and families. It also requires comprehensive awareness raising to inform the public about children's human rights and to change attitudes and behaviours.
Prohibiting corporal punishment is not about prosecuting parents or making them feel guilty: it is about proposing viable alternatives to violent discipline.

Les disparus et Les bienveillantes

J'ai avalé les deux tomes, "Les bienveillantes" en 2007 et "Les disparus" en 2008. J'ai aimé les deux ouvrages pour des raisons très différentes.

Dans Les bienveillantes j'ai apprécié l'écriture de Jonathan Littel, qui a su réproduire les détails sordides des massacres des juifs avec une précision chirurgicale qui decourage le lecteur, mais le pousse également à essayer de comprendre comment cela a pu se produire. J'ai aussi trouvé intéressant que le lecteur se sente constamment impliqué dans le roman, au fil des pages il ne peut jamais échapper à la question cruciale: que ferais-je si j'étais confronté à la même situation? Dr Aue, l'officier SS qui raconte en première personne sa traversée de la deuxième guerre mondiale, son monde intime, son histoire personnelle, est un personnage mythique, il incarne le pire, il fascine presque, mais il est complétement fictif. Cela soulage. Tant de mal ne peut véritablement être concentré dans un seul homme.


Les disparus est le témoignage très détaillé d'un travail de mémoire fait par Daniel Mendelsohn. Un voyage dans le temps et dans l'espace, une reconstruction qui se base sur de faibles traces, sur des témoignages et qui ne peut pas mettre en scène ce qui est exactement arrivé à des membres de la famille de l'auteur, "tués par les nazis". On peut l'imaginer, mais on ne peut pas le décrire avec exactitude. Le personnage principal de cet ouvrage est la mémoire, qui se présente dans sa dimension historique, familiale et personnelle. Les faits qui font l'objet de la recherche de Daniel Mendelsohn pourraient faire partie de ceux décrits dans Les bienveillantes.

Toutefois, les deux ouvrages ne peuvent pas être comparées, si non pour dire que, paradoxalement, la fiction permet de mettre en scène l'humanité avec beaucoup de précision, alors que le travail de reconstruction historique peut seulement faire des suppositions, retracer, mais il ne saura jamais décrire exactement les faits. Témoignage vs. imagination, vécu vs. mise en scène, élaboration vs. description.

J'aimerais avoir un échange d'opinion avec ceux qui ont osé lire les deux tomes ... j'attends des commentaires!

jeudi 12 juin 2008

La laicità secondo un filosofo spagnolo

Ho appena concluso la lettura della "Vita eterna" del filosofo spagnolo Fernando Savater.
Oltre a contenere numerosi e stimolanti spunti di riflessione sulla questione oggetto del titolo, il saggio affronta due temi a me cari, quello della laicità, o meglio del laicismo e delle cosiddette "radici cristiane" dell'Europa.
Sul primo tema non posso che condividere le affermazioni del filosofo spagnolo : "Nella società laica, le credenze religiose trovano accoglienza in quanto diritto di coloro che le assumono, ma non come dovere che possa essere imposto a qualcuno (...). La legalità stabilita dalla società laica marca i limiti socialmente accettabili entro i quali tutti noi cittadini dobbiamo muoverci, quali che siano le nostre fedi o le nostre incredulità. Sono le religioni a doversi adeguare alle leggi, mai il contrario" (p. 194).

Sulle radici cristiane l'opinione di Savater si basa sulla considerazione che "i cristiani introdussero la passione terribile ed escludente per la verità (...) Ai pagani non era venuto in mente di "credere" nelle loro divinità nel modo esaustivo inaugurato poi dai cristiani (...) Il Dio che era la Verità fece fuori tutti gli altri dèi e poi la verità si rivolse in maniera letale contro di lui." Savater conclude che "le radici cristiane dell'Europa hanno oggi la loro espressione più chiara nella scienza che annichila le leggende pietose ... nella proclamazione dei diritti umani a cui si nega la sanzione divina". Di conseguenza proprio la mancata menzione delle "radici cristiane" nel preambolo della Costituzione europea è per Savater l'espressione di tali radici cristiane.

Ne consiglio vivamente la lettura a tutti coloro che continuano a dubitare. Ringrazio l'amico, insegnante di religione, che mi ha regalato questo libro.

mardi 3 juin 2008

Conteurs polyglottes à Strasbourg




La Maison de l'Amerique latine de Strasbourg organise la première rencontre internationale des conteurs les 10-14 juin. Vous trouverez le programme en cliquant ici.
L'affiche de cette manifestation a été réalisée par une amie d'origine argentine, Florencia Escalante, artiste peintre résidant à Strasbourg.